Sommes-nous tous des travaillants ?
Nonfiction, Social & Cultural Studies, Social Science, Sociology, Marriage & Family
| Author: | Marie-Louise Pellegrin-Rescia | ISBN: | 9782402109857 |
| Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | December 31, 1993 |
| Imprint: | FeniXX réédition numérique (Hommes et Perspectives) | Language: | French |
| Author: | Marie-Louise Pellegrin-Rescia |
| ISBN: | 9782402109857 |
| Publisher: | FeniXX réédition numérique |
| Publication: | December 31, 1993 |
| Imprint: | FeniXX réédition numérique (Hommes et Perspectives) |
| Language: | French |
La crise de la société industrielle moderne impose de penser autrement l’inactivité et le chômage. Marie-L. Pellegrin-Rescia, s’appuyant sur des analyses de spécialistes - sociologues, économistes, éthologues - démontre qu’une mise en forme différente de la société à partir d’autres catégories mentales, ouvre de nouvelles perspectives permettant de dépasser la dichotomie actif/inactif. Le concept de « travaillant » que l’auteur avance, ne peut que renouveler nos vues sur le travail et l’inactivité. Les décideurs d’aujourd’hui, prisonniers des statistiques et des programmes « d’intégration », ne voient pas les changements qui s’opèrent sous leurs yeux : il faut repenser les fondements de la société et ne plus rechercher des solutions « palliatives ».
La crise de la société industrielle moderne impose de penser autrement l’inactivité et le chômage. Marie-L. Pellegrin-Rescia, s’appuyant sur des analyses de spécialistes - sociologues, économistes, éthologues - démontre qu’une mise en forme différente de la société à partir d’autres catégories mentales, ouvre de nouvelles perspectives permettant de dépasser la dichotomie actif/inactif. Le concept de « travaillant » que l’auteur avance, ne peut que renouveler nos vues sur le travail et l’inactivité. Les décideurs d’aujourd’hui, prisonniers des statistiques et des programmes « d’intégration », ne voient pas les changements qui s’opèrent sous leurs yeux : il faut repenser les fondements de la société et ne plus rechercher des solutions « palliatives ».
